Médecines douces : des progrès à faire vis à vis de la transparence
Ce rapport met en lumière les défauts administratifs ou de transparence sur les prix mais aussi parfois sur des pratiques illégales.
Bien choisir son thérapeute, rester vigilant(e) sur la complémentarité de l'approche choisie par rapport à ses traitements (en parler avec son oncologue et ou pharmacien hospitalier/de ville), vérifier les prix sont de bons réflexes à prendre.
Lire l'article Dans un rapport publié en décembre dernier, la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) annonce avoir relevé pas moins de 460 situations d’infraction sur 650 contrôles réalisés au cours de l’année 2018 auprès de praticiens en « médecine douce ».